I had to find You, tell You I need You. Tell You I set You apart. | Gabriel. ♥
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Strawberry A. Kaplan
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Sujet: I had to find You, tell You I need You. Tell You I set You apart. | Gabriel. ♥ Lun 24 Oct - 20:27
Gabriel & Strawberry I HAD TO FIND YOU, TELL YOU I NEED YOU. TELL YOU I SET YOU APART.
Ca vous est déjà arriver de vous sentir terriblement mal ? A tel point que les remords viennent à touts moments de la nuit, du jour. Vous tourmentes à chaque instant, tels de mauvais esprits ? Vous empêche de trouver le sommeil, qui plus est ? Ca vous est déjà arriver d'avoir une boule dans le ventre, qui vous assaille de spasmes et de douleurs tout aussi atroce, comme si on vous donnez des coups ? D'avoir tellement mal au coeur, qu'on à la soudaine impression qu'il va exploser. Eclater en mille et un éclat. Qu'il va se briser, et que vous ne pourrez plus jamais recoller les morceaux ? Pour ma part, c'est ce que je ressentais depuis de nombreux jours, déjà... Depuis ce qui s'était produit ce soir-là, avec... Mon meilleur ami ; Gabriel, je me sentais affreusement mal. Mal à l'idée de lui avoir dis tout ces mots, mal à l'idée de lui avoir causer de la peine. De lui causer du tord, du mal. De le faire souffrir. J'aurais tant voulu revenir en arrière, et arranger les choses. Faire en sorte que ce malentendu n'avait eu lieu. Malencontreusement, ce n'était guerre aussi simple, hélas... Je savais que j'avais commis quelque chose, que j'avais dis quelque chose, qui ne pouvait sans nul doute être réparer, pardonner. Naturellement, j'aurais très bien pu faire en sorte de venir voir le beau jeune homme, mais... Je me doutais bien qu'il ne voulait me voir. Ou du moins... Etre la seule personne qu'il ne pourrait croiser. Même ne serait-ce qu'en derière. Mais, je le comprenais... Après tout, quoi de plus normal et compréhensible ? Il devait me détester, depuis cette nuit-là. Mais... Peut-être était-ce mieux ainsi ? A dire vrai, je n'en savais rien... Bien sur, j'avais envie de me faire pardonner, j'avais envie de le supplier, de lui avouer que je n'étais qu'une imbécile, qui avait peur d'avoir de nouveau le coeur brisé. J'avais envie de réparer ma faute, de pouvoir faire la paix, mais à la fois, je comprendrais si ce dernier ne souhaiter cela. Oh bon sang... Je me sentais si stupide. Si mal... Je comprenais désormais, qu'il était important pour moi, mes yeux. Que je n'étais absolument rien, sans lui. Mais pourquoi avait-il fallut que je lui dise cela ? Alors, que... C'était faux. Que tout ceci n'était qu'un pur mensonge, purement éhonté ! Au final j'avais était effrayer à l'idée de souffrir, que j'ai fait souffrir un être important... C'était une chose que je ne me pardonnerais jamais. Le mieux était de me cacher, me faire toute petite aux yeux de Gabriel. De disparraitre à sa vue, et c'est ce qu'il désirer, je le fairais. Je respecterais son choix, mais... Pas avant de lui avoir présenter mes excuses les plus sincères. Même si, je savais que ça ne changerait sans doute rien entre nous... Je me devais de le faire...
Cela faisait des jours, voir des semaines que je n'avais point bouger de ma chambre... J'étais rester allongée dans mon lit, à contempler d'un air absent, le plafond. Mais, aujourd'hui, j'avais néamoins décider de me changer un peu les idées. Ou du moins... Essayer. J'avais pris alors un petit sac à main, qui contenait mon journal intime et un stylo. Mes clefs, mon Ipod, ainsi que mon portable. Je passais pa l'entrée, afin de mettre mes petites bottines et mon blouson en cuir, et fermer soigneusement à double tour, derrière moi, avant même de m'en aller en direction du fleuve. Pourquoi cet endroit ? Tout simplement parce que c'était un de mes endroits favoris. Que j'avais passer d'agréables moments ici, et que la plupart du temps, cela m'aider fortement à méditer, me sentir un peu mieux dans ma peau... Je marchais encore un peu, et arriva enfin sur les lieux, après une bonne vingtaine de minutes...
Je continuais alors, à tracer mon chemin, jusqu'à trouver un petit coin paisible où me trouver. Et après quelques longues minutes qui parrurent interminables à mes yeux, j'etrepris de m'installer sous un chêne, tout près du petit fleuve. Je contempler le courrant, ainsi, durant quelques instants, avant de sortir mon stylo, ainsi que mon carnet, pour pouvoir écrire. Ici, au moins, je savais que je pouvais me lâcher. Penser à autres choses. Arrêter de me torturer l'esprits, le temps de quelques heures, mais... Qui aurait cru, justement, que j'y croiserais un visage familier ? Une personne avec qui, je m'étais malheureusement quereller, et que je n'avais guerre recroiser, entre-temps... ?
Dernière édition par Strawberry A. Kaplan le Mar 25 Oct - 0:24, édité 1 fois
Gabriel A. Cooper
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Sujet: Re: I had to find You, tell You I need You. Tell You I set You apart. | Gabriel. ♥ Lun 24 Oct - 21:04
♣ I HAD TO FIND YOU, TELL YOU I NEED YOU . TELL YOU I SET YOU APART ♣ Gabriel & Strawberry ♥
(c) Little Boots.
Il y a quelques années j'avais appris ce que c'était d'avoir le coeur brisé . Avoir cet énorme trou dans notre coeur pour moi c'est la chose la plus douloureuse et la plus dur à faire partir, à oublier . D'ailleurs , elle ne part jamais elle reste intacte on oublie, on apprend à vivre avec mais elle est toujours là à chaque seconde de notre vie . Pour moi c'est un enfer de vivre avec ça, car je donnerais n'importe quoi pour retourner en arrière et faire en sorte qu'elle ne s'installe pas dans mon coeur . Comment et surtout pourquoi j'ai mal ? Eh bien ... c'est une histoire qui s'est produit il y a quelques années mais le plus drôle c'est que je m'en souviens comme-ci c'était hier . Quand j'avais 5 ans de moins , je travaillais dans un bar d'une ville très réputer, oui je devais travailler car je devais payer mes études et surtout me payer de quoi manger . Et c'est au bout de quelques mois de travail que j'ai rencontré une femme très charmante du nom de Strawberry, un nom qui me faisait toujours rire car je trouvais ça tellement mignon, mais elle préférait que l'on l'appelle Berry ' ce qui était encore plus joli à mon goût . Mais cette belle femme très charmante, c'est également la femme qui m'a brisé le coeur en mille morceaux rien qu'en prononçant quelques mots . Alors qu'elle était à moitié allonger sur le bar entrain de boire un verre, un homme très spécial quand je dis spécial c'est parce que je le trouvais trop sûr de lui et avec son sourire stupide ... bon j'avoue j'étais un peu jaloux qu'il parle a cette jeune femme que je n'avais pas lâchée du regard de toute la soirée . Bref, alors que cet homme commençait à la draguer et à lui faire du charme elle le remballa en quelques secondes, ce qui ne m'empêcha pas de lâcher un rire et de m'approcher d'elle pour lui parler un peu .. ce qui me faisait le plus rire, c'était sa toute première question qui était " Tu as une petite copine ? " .. Aujourd'hui, j'en ris encore quand je suis de bonne humeur et c'est de cette manière que tout a commencé, on a commencé à se fréquenter et à devenir de très bon amis même les meilleurs ... mais je ne sais pas pourquoi j'éprouvais quelque chose de différent qu'une simple amitié, elle commençait à me plaire sérieusement et elle ne le voyait même pas ce qui me faisait mal car j'avais tendance à trop le montrer . Un jour, j'en ai eu mare et je lui ai tout dit et je n'aurais jamais cru que sa réponse qui avait duré quelques secondes suffirait pour me briser le coeur et éprouver une haine profonde pour elle . Sa réponse, sa phrase me hantait jour et nuit je l'entendais encore me hurler : " je ne t'aime pas, c'est ça que tu veux entendre ? C'est ça . Alors oui, je te le dis, je me suis servis de toi pour oublier Mason ! " Mason s'était un vrai c*n, mais son ancien fiancé qui lui avait brisé le coeur . Bref de toute façon on s'en fout de lui, le pire c'était elle ... sa phrase !
Mes yeux s'ouvrirent brusquement, on n'avait beau être que samedi je mettais toujours mon réveil car me connaissant je pouvais dormir toute une journée sans ouvrir les yeux au moins une fois . De toute façon j'étais en train de faire un cauchemar donc ce n'est pas plus mal que mon réveil ait sonné . Je posai ma main dessus pour appuyer sur un bouton de façon à l'éteindre et je me remis correctement dans mon lit en regardant le plafond posant mes mains sur mon front en me demandant ce que j'allais bien pouvoir faire aujourd'hui pour ne pas penser une seconde à Berry ' . Peut-être qu'un petit tour de moto allait me changer les idées ? Oui, c'était une bonne idée .
Une fois prêt, je sortis de chez moi et me dirigea vers ma moto pour démarrer et rouler, je en savais vraiment pas où j'allais mais je voulais juste prendre l'air . Le fleuve ? ce serait une très bonne idée pour s'allonger dans l'herbe et faire une petite pause et me détendre . Une fois arrivé au fleuve, j'eus un sourire en voyant qu'il n'y avait pratiquement personne . Je retirai mon casque de moto en m'installant dans la pelouse regardant les gens autour de moi, je ne connaissais personne et je ne vous cache pas que ça ne me dérangeait pas ... je me sentais tout de même regarder par une jeune femme dans un coin, mais je n'y prêtais pas plus d'attention .
Strawberry A. Kaplan
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Sujet: Re: I had to find You, tell You I need You. Tell You I set You apart. | Gabriel. ♥ Mar 25 Oct - 1:28
Gabriel & Strawberry I HAD TO FIND YOU, TELL YOU I NEED YOU. TELL YOU I SET YOU APART.
Quel est l'imbécile qui à dit que le temps guérrissait toutes les blessures ? Le faisaient disparraitre, petit à petit, au fil du temps ? Nan, parce que, en toute honnêteté, tout ça, c'était des soties... Je n'avais pas eu beaucoup de relations amoureuses. Deux, pour être précise. La première, fut un jeune homme qui habitait à Albuquerque depuis quelques longues années, mais... Il faisait plusieurs allés-retours entre l'Amérique, et la France. Notre histoire à durer, en tout et pour tout, un an. Une longue année de pur bonheur. J'étais heureuse, épanouie. Je profitais des simples bonheurs que m'offrait la vie. Mais naturellement, comme toutes les filles au début, j'étais on ne peut plus naïve. Oh oui, ça, je l'avait était ! On pouvait me dire n'importe quoi, que je gobais tout. On pouvait me demander de sauter d'un pont, que je le faisais sans hésiter ! Mais ensuite, tout s'était arrêter. La lumière avait laisser place à l'ombre, au noir complet. A la souffrance, au désespoir... J'avais boyer du noir. Avait était totalement déprimée. Je n'avais oser sortir de ma chambre durant plusieurs mois. J'étais juste rester allongée dans mon petit lit, qui m'avait parrut aussi froid, aussi glacial que la mort. Un trou béant s'était former au creux de ma poitrine et était rester durant longtemps. Très longtemps... C'est ensuite, grâce à ma mère et à mes amis, qu'on avait réussit à me remettre sur les rails. Certes, cela avait était énormément dur pour moi. De faire des efforts, sortir, sourire aux gens pour ne pas les inquiêter. J'avais eu énormément de mal à m'en remettre, mais... J'avais cependant gagner ce combat. Un combat, qui, malheureusement, m'avait laisser des traces. Le trou béant s'était refermer, et en toute franchise, je pensais sans nul doute qu'il ne réaparraitrait jamais, mais je faisais fausse route... Car deux ans plus tard, c'est là que je rencontrais Mason. Mais contrairement à ce qu'o peut s'imaginer, je l'avais détester, à la base... Je l'avais trouver trop sur de lui, ventard. Il se croyait parfait, supérieur aux autres, et j'avais toujours haïs ce genre de personne. C'est pourquoi, je l'avais souvent repousser, lui et ses avances grotesque. Chaque fois qu'on s'étaient croiser, je lui en faisait voir de toutes les couleurs ! Mais après de nombreuses semaines, de nombreux mois, Mason avait commencer à changer, à mon égard. Il s'était montrer gentil, avenant, courtois, attentionné. Le genre de personnalité sur lequel beaucoup de filles de mon âge pouvait craquer. Oui, je pensais qu'il avait changer, mais dans le fond, ce n'était point du tout le cas. J'avais était tellement aveuglée, que je ne voyais le jeu du garçon... J'avais était si facilement et délibérement bernée... Alors qu'on était ensemble depuis deux ans, et fiancés depuis six mois, voilà qu'un soir, en rentrant chez nous, je l'avais surpris dans les bras d'une autre. Et une fois de plus, j'avais tait trahis, meurtrie, trompée... J'avais tellement mal, je souffrais tellement, que je m'étais promis de ne jamais plus tomber amoureuse de quiconque. De ne jamais m'attacher beaucoup plus que l'anormal... Depuis ce soir-là, j'avais enchainer des relations sans lendemains, et c'est tout ce qui m'importait... Et puis, chacuns y trouver son compte, comme ça ! Ma conquête n'était guerre obligé de m'attendrir avec de douces parole, m'offrir des bijoux de valeur, des bouquets de fleur toutes aussi resplandissantes les unes que les autres. Oh non, bien au contraire ! Il suffisait juste de quelques shooters et puis j'étais partante ! Seulement voilà... C'est en m'amusant trop. En jouant tellement les stupides, que j'avais finis par briser le coeur de mon meilleur ami, Gabriel. Et ça, je m'en voulais comme pas permis. Pourquoi ? Tout simplement parce que Gabriel, n'était pas n'importe qui. Ce n'était ni une personne que j'avais en signe de la main, ni une personne totalement et irrévocablement insignifiante ! Pour moi, Gabriel était le seul qui donnait un sens à ma petite vie banale. Il me faisait sourire, rire, me remoter le moral. Il était vraiment important, pour moi. Il était le seul qui pouvait me rendre bie, heureuse. Il était le seul à qui je confier tout, le seul que je protéger, que j'aider. Le seul avec qui je me sentais vraiment revivre, comme autrefois. Il était mon point faible, mon talon d'Achile. Si il n'est point heureux, je ne le suis pas non plus. Si quelqu'un l'ennuyait, j'intervenais, si il ne se sentait pas au niveau de sa forme, je faisais absolument tout pour le remonter à bloc. J'en étais même jalouse, au point de me rendre malade, quand une fille s'approchait trop de lui, à mon goût ! Mais ça... Je n'avais jamais su le montrer. Je n'avais jamais oser lui dire toute la vérité, parce que... J'avais peur d'avoir de nouveau mal. J'avais peur à l'idée de donner mon coeur à mon meilleur ami, et de le voir se briser, se démolir, se fracasser en mille morceaux. Alors, je luttais en silence contre mes sentiments, dans l'espoir que je réussirais à surmonter cette étape. Mais en vain... Si seulement, je ne lui avais dit ces mots. Si seulement j'avais sû prendre mon courage à deux mains, et lui dire que je l'aimais... Beaucoup. Pas dans le sens que c'était mon meilleur ami, mais... Que c'était bien plus que cela. Hors, après ce que je venais de sortir, il serait bien difficile de me croire quand je disais que je l'aimais. Cela ne m'étonnerait pas, d'ailleurs, si je me faisait éjecter avec un coup de pieds aux fesses. Voir pire ! Mais, je sais très bien que, dans le cas contraire, je l'aurais largement méritait...
J'étais donc confortablement installer sous cet immense chêne, et avait commencer à écrire, tranquillement, dans mon journal intime, mais, je m'arrêtais subitement quand j'entendis des bruits de pas approcher. Je levais alors les yeux, pour toiser le ou la passante, et là... Je reconnu tout de suite la silhouette, qui se trouvait un peu plus loin, et qui, au passage, s'assister délicatement sur l'herbe fraichement tondu. Je sentis, à cet instant si précis, mon coeur cogner fortement dans ma poitrine, me menaçant d'exploiser à tout moment. Ma gorge se resserer. Mon ventre se nouer. Je le contempler durant de longues minutes qui parrurent étrangement s'éternisées. Devais-je aller le voir ? Lui parler ? Tout lui expliquer ? Lui dévoiler toute la vérité et rien que la vérité ? Lui présenter mes excuses ? Et bien... Non. Peut-être que ce n'était pas sage. Peut-être que, n'importe qui aurait tout bonnement continuer son chemin, comme si rien était, mais... Ce n'était guerre mon cas. Même si je savais parfaitement que ça n'allait certainement pasarrager les choses entre nous, je me devais au moins de faire ça, pour lui... Je ranger alors mes affaires, et soufflai un grand coup, avant de me lever, et de me diriger vers le beau brun, d'un air quelque peu hésitant, tout en ayant mon sac en main...
« Salut, Gabriel. Excuse-moi de... Te déranger, mais... Est-ce que je... Je peux... Te parler, sil-te plait ? »
Lui demandais-je, d'une petite voix blanche et hésitante, en n'osant le regarder droit dans les yeux. Me sentant terriblement mal à l'aise... Je patientais alors, patiement, dans le plus grand silence, bien que je m'imaginais bien que le beau jeune homme me donnerais certainement une réponse négative...
Gabriel A. Cooper
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Sujet: Re: I had to find You, tell You I need You. Tell You I set You apart. | Gabriel. ♥ Mar 25 Oct - 12:48
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(c) Little Boots.
IL n'y a que la vérité qui blesse c'est ce que je dis souvent aux personnes qui ont tendance à prendre mal ce que je dis . La vérité est très douloureuse au fond personne ne veut l'entendre surtout quand sa nous touche de près . Cette phrase je crois la connaitre par coeur depuis que Berry ' m'a dit ce qu'elle pensait de moi et surtout ce qu'elle éprouvait . D'habitude , je joue avec les femmes je ne tiens à toutes les filles que je drague pour moi c'est juste une belle nana avec qui je vais coucher ce soir et si le lendemain je la vire de chez moi après une nuit de folie et qu'elle m'insulte de tous les noms, je m'en ficherais puisqu'elle n'était rien pour moi, mais par malchance je suis tombé fous amoureux de Strawberry ... tellement amoureux, que je commençais à avoir cette envie de la taquiner de l'emmerder pour essayer de refouler mes sentiments et me dire que je ne ressentais rien pour elle, mais bien évidemment je n'ai pas tenu longtemps avant de toute lui révéler au grand jour et de me prendre par la suite un vent . Pour moi c'était une nouvelle preuve que l'amour ce n'était pas pour moi, une bonne amie m'a dit : " ce n'est pas parce que tu as eu une déception amoureuse que tu ne dois pas connaître l'amour de nouveau " . Elle a parfaitement raison il n'y a pas que Berry ' dans la vie, mais quand votre coeur se brise une fois à la fin vous n'avez même plus envie de trouver l'amour une seconde fois, vous voulez juste profiter de la vie et de ne jamais penser aux sentiments amoureux . Je ne vois même pas pourquoi je pense à Berry ' de toute façon puisqu'elle a disparu de la surface de la terre, c'est une deuxième chose que je n'ai pas compris . Pourquoi a-t-elle fuit ? C'est moi qui l'aime, c'est à moi de partir en courant et c'est à moi de me cacher et de me faire tout petit après le vent qu'elle venait de me mettre . Bon, j'ai assez parler de Berry ' pour aujourd'hui ... c'est les vacances et je veux me reposer sans me prendre la tête ...
J'étais délicatement allongé dans l'herbe avec le soleil qui me chauffait le visage et le corps, voilà pourquoi je retirai ma veste pour la mettre en boule en dessous de ma tête comme pour me faire un oreiller et je fermai les yeux une seconde fois . Je sentais que j'allais m'endormir et franchement j'en avais bien besoin, tout ce que je voulais c'était de ne pas rêver de Berry ' . Alors que j'étais à deux doigts de m'endormir, j'entendais des chaussures se frotter contre l'herbe et se bruit s’approchais de plus en plus de moi, une personne que je connaissais venait me voir ? Ou peut-être une jolie femme ? Alors qu'elle s'arrêta net juste à côté de moi, j’ouvrai les yeux ... le soleil m'éblouissait tellement que je ne pouvais pas voir son visage, mais sa voix m'interpela : « Salut, Gabriel. Excuse-moi de... Te déranger, mais... Est-ce que je... Je peux... Te parler, sil-te plait ? » . Oh mon dieu, c'était sa voix ... Je me levai brusquement en attrapant mon manteau, je n'avais même pas regardé son visage, je ne pouvais pas la regarder ... je n'arriverais pas à la regarder sans que mon coeur se mettre à battre à la chamade et que je me jette sur elle pour l'embrasser comme un fou et lui dire à quelle point elle m'a manqué, mais aussi à quelle point je la déteste de m'avoir abandonné ... Je dis alors en rangeant mon téléphone et mes clefs dans mes poches de manteau : « Je ne veux plus te voir, ni te parler ... fiche moi la paix, la dernière fois tu m'as bien fait comprendre que tu n'étais pas amoureuse de moi et tu es ensuite parti je ne sais où ... alors maintenant fiche-moi la paix . » Je n'avais que ça à lui dire, je ne trouvais pas d'autre mot à lui lancer en plein figure . Je passai à côté d'elle en ne pouvant m'empêcher de taper mon épaule légèrement contre la sienne . Je fuyais très loin, mais avec une envie profonde de vouloir entendre ce qu'elle avait à me dire ... elle allait peut-être me dire la vérité , après tout elle me devait ça ... elle me devait au moins ça !
Strawberry A. Kaplan
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Sujet: Re: I had to find You, tell You I need You. Tell You I set You apart. | Gabriel. ♥ Mar 25 Oct - 18:24
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Certes, peut-être que ce n'était pas de mon ressort de fuir mon "meilleur ami", surtout après ce que je venais de lui avouer, ce soir-là. Peut-être que d'autres personnes comme moi, l'aurait dit sans désinvolte. Ou peut-être que d'autres femmes, aurait certainement craquer, se serait jeter dans les bras de Gabriel, mais... Pas moi. Je ne faisais jamais comme les autres... Je m'en voulais horriblement de ce que j'avais sortie au beau brun. Je ne pouvais trouver le sommeil, depuis. Combien de fois j'avais fais les cents pas dans ma chambre, en hésitant pour l'appeller, tenter de le voir, pour lui dire à quel point je regrettais ? Que je l'aimais tellement, au point qu'il me serait plus qu'insupportable de devoir le perdre ? Oh oui, parce que j'avais voulue le faire, de nombreuses fois. Mais, il y a de quoi ne point vouloir me voir, me parler, ni même m'écouter, et ça, je pouvais tout aussi bien le comprendre. C'était même logique. Après tout, qui voudrait croiser la personne qu'on déteste parce qu'elle nous à briser le coeur ? Il fallait être fou pour accepter une telle chose ! Pourtant, il fallait absolument que je le fasse, que je lui explique tout, que je présente mes excuses les plus sincères. Je lui devais au moins cela. Et si ce dernier, ne désirait plus que je fasse partit de sa vie, juste après, alors je l'accepterais. Je respecterais son choix. Et même si cela ne me plairait point forcément... Je me devais au moins, de payer ce prix là. Je voulais seulement qu'il soit heureux, qu'il est quelqu'un qui l'aime, tout comme il l'aimerait en retour. Une personne qu ne le fairait jamais souffrir, et qui lui accorderait une confiance aveugle, une affection, sans condition. Chose que je ne méritais guerre, j'en avais conscience...
En le voyant s'allonger, paisiblement, en essayant certainement de faire le vide dans sa tête, cela me fit d'avantage de peine, pour lui. Je ne voulais l'importuner, le troubler dans ce moment si paisible et serein. J'aurais voulue attendre. Le laisser tranquille, méditer de mon côté. Je ne pouvais m'empêcher de le contempler, avec admiration et émerveillement, tout en ressentant cette immense tristesse. Cette énorme douleur, qui remonter progréssivement à la surface. Si seulement, je pouvais lui dire ces petits mots magique, qui était si simple, et pourtant si importants. Si je pouvais me blottir dans ses bras, et rester ainsi, pour l'éternité. Si je pouvais l'embrasser tend... Oh mon dieu, mais qu'est-ce qui m'arrivait de penser cela, tout à coup ? Je secouais alors la tête, de droite à gauche, durant quelques instants, avant de reprendre mes esprits, et me lever, pour ainsi lui dévoiler toute la vérité.
Au fil des secondes, des minutes que je m'approchais, je le voyais, les yeux fermer, la mine grave, et pourtant, si emprunt de douceur. Je ne pu alors, m'empêcher de me mordre délicatement la lèvre inférieure. J'aurais voulue prendre, à cet instant, mes jambes à mon cou, et fuir loin d'ici. Loin de lui, mais... Je ne pouvais. Je ne le voulais point, dans le fond. Du moins, pas tant que je lui aurait dit le fin fond du problème. Je décidais donc de prendre mon courage à deux mains, avant de lui adresser la parole, d'un air quelque peu hésitant. Le bel apollon se leva rapidement, d'un air plus ou moins brusque, avant même d'attraper son manteau, et de ranger au passage, ses clefs, ainsi que son portable, dans les poches de celui-ci. Puis, après quelques longs instants, le garçon m'avoua clairement, de le laisser tranquille, d'une voix qui se voulait froide, distante. Bien que, dans le fond, j'y décelais une pointe de mélancolie. Je le voyais, alors, qui s'apprêtais à partir, sans même m'adresser un regard, sans me laisser le temps de tout lui révéler. Sans même se retournais une seule petite fois. Je devrais peut-être l'écouter, lui dire que j'étais désolée, et que je ne le dérangerais plus jamais, mais à la place, je ne pu m'empêcher de le ratrapper, en vitesse, en l'atrappant délicatement par le bras, sans lui faire de mal, naturellement, et de me retrouver face à lui.
« Non, attends. Je comprends parfaitement que tu n'es ni envie de me voir, ni de me parler, ni d'entendre ce que j'ai à te dire. Que tu me déteste, et que tu en as tout les droits. Mais, je voulais juste te dire une chose. Si après ça, tu décide toujours de t'arrêter sur ce choix, alors, je m'en irai. Je te laisserais tranquille, c'est promis. »
Lui dis-je, d'une voix relativement calme et douce, en lui lâchant le bras, avec délicatesse. Je le vis alors, me toiser, enfin, pour la toute première fois depuis ce qui s'était produit. Je sentis mon coeur se resserais de nouveau, mon coeur qui battait à vive allure, mais je déglutis, avant de continuer dans ma trajectoire.
« Je sais que je n'aurais jamais dû te dire tout ceci. Je sais que je n'ai pas agis comme il le fallait, et que je t'ai fais beaucoup souffrir. Que je te fais toujours du mal. Et j'en suis terriblement, vraiment et sincèrement désolée. Je regrette tellement. Je sais que ça n'explique en rien mon comportement. Je sais que ça n'arrangera rien entre nous, et que tu ne me pardonneras certainement pas, tout comme je ne peux le faire, pour moi. Mais, je ne m'attends pas à ce que tu le fasse... Depuis qu'on s'est rencontrés, tu m'as beaucoup aider, protéger, remonter le moral, quand j'en avais besoin. Tu as toujours sû me faire voir le bon côté des choses. Tu as donner un sens à ma vie, et voilà comment je t'ai remercier... Ca me ronge tellement. Je n'ai jamais voulu te faire tout ce mal, crois-moi. Tu as toujours sû être là pour moi, dans les bons comme dans les pires moments. Tu m'as toujours fait confiance et donner de l'affection incondionnellement, alors que je sais que je ne le méritais pas du tout, et que je ne le mérite toujours pas. Et je t'en remercies, du fond du coeur. Merci pour tout. Et oui... J'ai mentie. J'ai mentie sur le fait que je ne ressentais rien pour toi, quand tu me prenais dans tes bras, quand tu m'embrassais, quand tu me faisais rire et sourire. Je t'ai mentie, tout comme je me suis mentie à moi-même. Je t'aime depuis ce soir-là. Depuis qu'on s'est rencontrés dans ce bar. Depuis que tu m'a adresser la parole. Je t'aime dès l'instant où je t'ai demander si t'avais une petite copine. Seulement, j'avais peur. Peur de te dire la vérité. J'étais effrayer à l'idée que tu partes à tout instants. J'avais aussi peur de tenter le tout pour le tout, et d'avoir de nouveau le coeur brisé. Et pourtant, c'est moi, qui te l'ai brisé... Et je m'en veux plus que tout. Je ne dors plus, depuis. Je ne fais qui penser. Cela me ronge tellement... Je n'ai pas envie de te perdre, je n'ai pas du tout envie de te voir partir. Tu es le seul qui à su me redonner le goût de vivre, d'être heureuse. Je me sens si bien avec toi, mais je comprends parfaitement que tu ne veuilles plus de moi, dans ta vie. Et, je le respecte... J'espère juste... »
Lui avouais-je, sans crier gare, avant de m'interrompre soudainement, en baissant le regard, durant quelques minutes, qui s'écoulèrent aussi vite que du sable. Je sentis alors, les larmes montaient, petit à petit, menaçant de couler, dès l'instant où j'oserais fermer les yeux. Mais, je repris mon souffle, avant de lever de nouveau la tête, pour pouvoir terminer tout ce que j'ai sur le coeur.
« J'espère seulement que tu sois heureux. Que tu trouves quelqu'un qui t'aimeras tel que tu es. J'espère qu'un jour, tu auras la force de me pardonner pour tout ce que je t'ai dis. Tout ce que je t'ai fais... Je t'aime, Gabriel, et... Sache que je suis désolée pour tout. D'être une imbécile. Un fard d'eau pour toi. D'être si égoïste, et de t'avoir fait tout ce mal. »
Je m'approchais alors, de son visage, délicatement, et lui déposais un baiser sur la joue, avant de m'éloigner aussi rapidement que j'étais venue, avant même de la lui caresser, avec délicatesse.
« Je te laisse... C'est promis, je ne t'importunerais plus, désormais... Tu ne me reverras plus. Je ne reviendrais pas. Poursuis ta vie, vis-là à fond, je ne m'en mêlerais plus. Ce sera... Comme si je n'avais jamais exister. Comme si, je n'avais jamais fais partie de la tiènne... »
Finissais-je, avant même de retirer ma main, en douceur. De lui accorder un dernier regard, avant de partir pour de bon. Pour le laisser définitivement... Comme si je n'avais jamais exister, c'est ce que je venais de dire, et c'est ce que je comptais respectais pour lui. Pour qu'il soit heureux et puisse menait sa vie, comme il l'entendait...
Gabriel A. Cooper
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Sujet: Re: I had to find You, tell You I need You. Tell You I set You apart. | Gabriel. ♥ Mar 25 Oct - 20:12
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Depuis quelque temps, j'oubliais presque mes sentiments pour elle j'avais trouvé comme une solution pour refouler mes sentiments, c'était peut-être a cause du fait que je ne l'avais pas vu depuis un bon bout de temps ... J'étais allongé sur l'herbe et je fermais les yeux petits à petit, en soupirant doucement tellement j'étais bien là . J'avais comme envie que le temps s'arrête, j'étais à doigts de m'endormir, mais évidemment quelqu'un s'approcha de moi et m'interpela . Je n'avais pas de suite reconnu la voix de Strawberry, mais quand mes yeux s'ouvrirent petits à petit je remarquai une silhouette et il ne me fallait pas plus de deux secondes pour reconnaitre la personne qui se tenait juste a côté de moi . Dans la panique et la colère que j'éprouvais pour elle, je m'empressai de ranger mes clés et mon téléphone dans ma veste avant de la remettre sur mon dos pour la fuir . J'avais réussi à l'oublier, ça faisait 3 ans et j'avais réussi ... rien qu'en entendant sa voix mes sentiments revenait et mon coeur battait de plus en plus fort que j'avais l'impression d'avoir couru dix fois autour du fleuve ... Je passai à côté d'elle en cognant assez doucement mon épaule contre la sienne pour lui montrer que je n'étais vraiment pas heureux de la voir ... enfin c'était ce que je montrais mais à l’intérieur de moi j'étais comme soulager, ça me faisait comme un bien fou de la voir ... Étrange, non ? Sa main se posa sur mon bras, elle me retenait elle voulait vraiment que j'écoute ce qu'elle avait à me dire et je ne vous cache pas que j'en avais aussi envie . Je m'arrêtai alors en regardant droit devant en écoutant toujours la jeune femme , j'étais loin de m'imaginer qu'elle me dirait une chose aussi belle ... Alors que je sentais les larmes monter petit à petit, je soufflais discrètement pour ne pas pleurer et ne pas laisser mes larmes coulées sur mes joues . Je finis par me retourner et a lui faire face , je la regardais dans les yeux elle n'avait pas changé ... elle était toujours aussi belle et je l'aimais toujours au temps . Elle s'excusait et moi je baissais la tête , je ne savais pas si je devais lui sourire ou autres ... mon regard se posa à terre jusqu’à ce qu'elle me dise ses trois petits mots, ma respiration était coupée mon coeur venait de s'arrêter et mon regard se reposa sur elle, j'étais totalement figé ... Elle s'approcha ensuite de moi pour poser ses lèvres contre ma joue, je fermai les yeux doucement ... ses lèvres sur ma joue m'avaient tellement manqué . Elle finit par me promettre qu'elle me ficherait la paix et que plus jamais elle ne reviendrait me voir . Elle commença à s'écarter de moi et je serai les poings en la regardant s'éloigner, je ne savais pas même plus quoi faire ... Ma seule réaction était de dire d'une voix assez forte : « Berry' ! » Ca faisait longtemps que je n'avais pas dit ce prénom à voix haute . Elle s'arrêta de marcher pour se retourner progressivement, je regardais ses yeux et je commençai à m'approcher d'elle et je passai ma main dans sa nuque pour la ramener vers moi et poser mes lèvres délicatement contre les siennes . Si elle me rejetait temps pis, mais après tout ce qu'elle venait de me dire ce n'était plus possible de la regarder et de me comporter comme un ami avec elle ... Je l'embrassais tendrement et amoureusement en sentant mon autre main caresser sa joue et l'autre sa nuque, mes yeux étaient fermés et j'avais comme l'impression de rêver, c'était juste un rêve rien de plus ... peut-être qu'elle n'était pas là, finalement j’espérais vraiment que ça ne soit pas mon imagination qui me joue des tours et qu'elle soit bien là contre moi et que je sois bien entrain de l'embrasser amoureusement . Je finis par la lâcher, la jeune femme était comme étonné, j'avais son rouge un peu sur mes lèvres et je la regardais avec un petit sourire qui s'installa sur mes lèvres, mon souffle était comme coupé mais je devais quand même être honnête avec elle voila pourquoi je lui dis : « Je t'aime moi aussi, je t'aime depuis le premier jour ... pendant des jours et des jours je me disais que j'allais réussir à oublier mes sentiments pour toi, mais je n'ai jamais réussi ... et quand je te les dis, tu as disparu ... tu m'as abandonné et je me sentais terriblement mal, tu m'as manqué ... mais je t'en veux toujours, mais j'arriverais plus à t'en vouloir après ce que tu viens de me dire . » Je continuais de regarder ses beau yeux noisette, en laissant glisser ma main dans ses longs cheveux bruns . Une femme plus belle qu'elle c'était juste impossible ça n'existait pas, je collai mon front contre le sien en plaçant mes deux mains sur ses deux joues et je lui dis en me mordant la lèvre : « ça fait près de trois ans que j'attends que tu me dises ses mots ... » Je souris de plus en plus, attendant une réaction de sa part...
Dernière édition par Gabriel A. Cooper le Mar 25 Oct - 21:47, édité 2 fois
Strawberry A. Kaplan
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Sujet: Re: I had to find You, tell You I need You. Tell You I set You apart. | Gabriel. ♥ Mer 26 Oct - 2:02
Gabriel & Strawberry I HAD TO FIND YOU, TELL YOU I NEED YOU. TELL YOU I SET YOU APART.
Je savais parfaitement qu'en allant voir mon cher Gabriel, aujourd'hui. Quand allant à sa rencontre, je risquais gros. Même très gros... Je me doutais bien qu'en lui révélant toute la vérité, rien que la vérité, je risquais certainement de subir de graves et lourdes conséquences. Je savais qu'en lui avouant tout ceci, je prenais le risque de me faire prendre un énorme rateau. Que je risquais de blesser, et quitter un être cher. Le plus important à mes yeux et dans mon coeur. J'aurais très bien pu laisser tomber, baisser les bras, en le voyant se préparer en vitesse, pour pouvoir partir, loin de tout, loin de tout problèmes quelconque. Loin de moi. J'aurais dû comprendre que j'avais fait une belle erreur, que j'avais commis un acte tout à fait irréparable, impardonnable. J'aurais dû saisir sur le champ, ce signe. Ce petit tappement d'épaule, venant de celui qui faisait battre mon coeur, mais que je faisais souffrir, dans le fond. Mais je ne pouvais le voir partir. Le supporter une minute de plus... Le bel apollon n'avait pas hésiter à me faire part de ses sentiments, alors je lui devais au moins d'être franche avec lui. Tout comme il l'avait étai pour moi, ce soir-là. Oui... Je me devais de lui dire que je me mentais à moi-même. Qu'en réalité, je partager également les mêmes sentiments à son égard, et ce même si j'avais parfaitement conscience que c'était vouait à l'échec. Mais au moins, je devais le lui dire. Lui faire comprendre cela, avant de disparraitre de sa vie, définitivement. Le laisser tranquille, comme il me l'avait demander. Je m'étais donc mise à marcher rapidement, voir courrir, pratiquement pour ratrapper mon ex meilleur ami. Celui avec qui j'avais toujours partager de grands moments de bonheurs et d'insouciances, et lui déballais ainsi mon sac. Peut-être que cela était inutile. Peut-être que j'avais tord de vouloir me battre de toutes mes forces, si je savais que j'en allais sans nul doute payer le prix fort, mais qu'importe, désormais ? Je n'avais plus rien à perdre. Alors... Autant arrêter de lutter contre mes sentiments. Arrêter de me voiler la face, quelqu'en soit les conséquences. Je lui déposais alors, un doux et léger baiser sur sa joue si douce et crémeuse, et la lui caresser, après avoir dis au jeune homme que je l'aimais, tout en sentant les larmes venir. Cependant, je les contenais, et commença à m'éloigner, à contre coeur, du beau brun, en espérant que cela le soulagerait, pour tout ce que je lui avais fait subir ces derniers jours, ces derniers mois... Je mettais un pied devant l'autre, n'osant me retourner. Je sentais mon coeur se briser en mille morceaux. Je ne cachais point que c'était dur. Dur de devoir quitter l'homme que j'aimais depuis le premier jour où je l'avais vue. Depuis le premier soir, où j'avais poser mon regard sur lui. Mais je me devais de le faire. La seule chose qui m'importait, désormais, c'était de le voir heureux. Epanoui, et ce même si cela impliquait que je devais disparraitre totalement et irrévocablement de sa vie. Le reste n'avait plus la moindre importance.
Je continuais alors mon chemin, tant bien que mal, quand soudainement, j'entendis mon cher Gabriel m'interpeller. Est-ce que c'était moi ou... Le bel apollon à la carrure si parfaite venait de m'appeller ? Non... Ca ne devait probablement point être mon imagination qui me jouer de vilains tours... Je me retournais alors, doucement, pour le toiser avec étonnement et appréhension à la fois, comme pour m'attendre à surbir son courroux. Mais, à la place, je le vis se rapprocher progréssivement vers moi, en me toisant d'un air... Indéchiffrable. J'ignorais totalement, à cet instant si propice, ce qui allait m'attendre de pieds ferme. Je le fixai, toujours de ce petit air surpris, ne sachant quoi dire. Sentant mon coeur battre à tout rompre, quand finalement, le garçon passa délicatement sa main sur ma nuque, afin de me rapprocher d'avantage de lui, et ainsi, de sceller ses lèvres sur les miennes. Je fermais alors les yeux, pour apprécier ce moment pour le moins magique et inoubliable, prolongeant son doux et tendre baiser avec passion et amour. Je sentis les frissons m'envahir de parts et d'autres, surtout quand l'être que j'aimais plus que tout au monde, me caressa la joue et la nuque au passage. J'enroulais alors mes bras, autour de sa nuque, profitant de cet instant de bonheur. A ce moment si précis, j'avais comme l'impression d'être couper du monde, d'être entourer d'une bulle, avec l'homme que j'aimais. Le temps semblait s'arrêter, comme figer. Plus rien n'avait alors d'importance, ni de sens. Plus rien ni personne ne pouvait me séparer de lui. Pas même nos ennemis, pas même la constellation des étoiles. Pas même le cosmos, l'univers tout entier. Seul Gabriel comptait, désormais. Pour rien au monde, je n'aurais voulu que tout ceci s'arrête, si subitement. Mais naturellement, touts bonne chose à toujours une fin. Le beau jeune homme s'écarta ainsi, délicatement, pour me toiser de ses yeux verts émeraudes, en laissant esquisser un petit sourire, qui le rendait si attachant et attendrissant. Je le contemplais ainsi, d'un air totalement ahuris, ne sachant comment réagir. Mon souffle était saccadé. Puis, finalement, je finis par lui rendre un magnifique sourire, à mon tour. Un rictus pour le moins sincère, soulager, et heureux. Oui, j'étais soulagée, que le garçon me pardonne en partie, malgré tout ce que je lui avais fait. Une fois de plus, il faisait preuve de bon sens, de compation, d'affection. Une chose pour laquelle je ne méritais pas plus que les autres, mais qui par chance, s'offrait à moi. Je l'écoutais alors, attentivement, en le toisant intensément, attendant gentiment et patiement, pour prendre la relève...
« Je te comprends, car... C'est ce que je ressentais également. Pourtant, quand j'ai sûe que c'était sans sccès, j'ai arrêter de lutter. Tout du moins... J'essayer... J'avais tellement envie de te dire la vérité, mais... La peur me paraliser. J'avais peur de faire une bêtise, de te perdre. Ou... Ecore le fait de souffrir. Je savais que je n'aurais pas eu la force de continuer, sans t'avoir à mes côtés. Je m'en serais toujours voulue. Et, je sais que je n'aurais pas dû fuir. Vraiment, je le regrette de t'avoir laisser. Et toi aussi, tu m'as énormément manqué, Gabriel, mais... Je comprendrais si tu m'en veux toujours autant. Sache que je ne veux pas te faire de mal. Je t'aime, je tiens tellement à toi, que je fairais tout pour contribuais à ton bonheur. Même si cela voudrait dire que je ne fasse plus parti... De ta vie. »
Je continuais donc de le toiser intensément, mémorisant chaque traits fins de son doux visge si envoutant. Je rester là, totalement figée telle une grande statue de pierre, à le contempler avec amour et admiration. Et avec ce soleil si radieux, qui l'illuminer, je ne pouvais m'empêcher de ne faire le moidre geste. De pronnoncer la moindre petite parole, comme si j'avais soudainement peur que le bel apollon ne disparraisse. S'envole. Il était tout simplement parfait. Mon coeur ne cessait de cogner dans ma poitrine, les frissons se propager un peu partout dans mon corps, rien qu'en sentant le contact de sa peau si lisse et douce comme de la soie, sur la mienne. Je pris donc grand soin de lui caresser le visage, avec douceur et délicatesse, d'un revers de main, pendant que ce dernier s'affairait à glisser une main dans mes longs cheveux bruns chocolat. Puis, mon cher et tendre Gabriel, colla doucement son front, contre le mieux, posant ainsi ses deux mains sur mes joues, en se pinçant la lèvre, délicatement. Je fermais les yeux, durant quelques longs instants, savourant ce geste, avant de le réouvrir, et de poser mes mains sur le siennes, doucement, prenant soin de les enlasser entre mes doigts, par la suite.
« Mon dieu... Trois ans ! J'ai tellement honte de t'avoir fait attendre. Je suis désolée... J'aurais dû également te le dire plus tôt. Me bouger un peu, pour une fois. Mais... Peut-être... Que ça en vallait la chandelle, non ? En tout cas, sache une chose. Je t'ai toujours aimer, je t'aime et je t'aimerais toujours, Gabriel Alaric Cooper. Tu es tout pour moi. Ma lumière, mon soleil, mon ange, mon espoir, mon essentiel, ma dose d'héroïne. Mon amour, l'homme de ma vie. Tu es tellement important, pour moi. Je ne sais vraiment pas ce que je fairais, ce que je deviendrais, sans toi. Je ne pourrais vivre dans un monde où tu n'existes pas. »
Lui confessais-je, sans crier gare, en décollant délicatement mon front, du sien, avant de lui adresser un nouveau petit sourire, tout mignon, bien qu'amusé à la fois. Après tout, comment rester de marbre, pour le moins sérieuse, alors que mon bel ange avait la marque de mon rouge à lèvre, tout pleins, partout, sur ses lèvres fines et pulpeuses à souhaits. Je ne pus m'empêcher alors d'échapper un léger petit rire argentin.
« C'est magnifique ! Mon roueg à lèvre te va à la perfection, dis donc ! Tu pourrais même lancer ta propre marque ! »
Claironnais-je, d'une petite voix amusée, avant même de sortir un mouchoir de ma poche de ma veste en cuir, afin de lui essuyais en douceur cette marque orangée, qui avait l'odeur de la pêche. Puis, je ranger le petit bout de tissu, avant de lui déposer à nouveau un doux baiser, mais... Sur les lèvres, cette fois-ci.
Gabriel A. Cooper
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Sujet: Re: I had to find You, tell You I need You. Tell You I set You apart. | Gabriel. ♥ Mer 26 Oct - 13:30
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Si ce matin quelqu'un m'aurait dit que Berry ' serait venu me parler au fleuve, qu'elle m'aurait dit qu'elle m'aimait et que je l'aurais embrassé et que celle-ci aurait prolongé, je me serais mis à rire au point de perdre mon souffle et de me laisser tomber à terre . Une relation amoureuse je ne savais pas si j'en avais vraiment envie, peut-être que la seule personne avec qui j'avais envie d'avoir une relation amoureuse c'était bien Berry ' . Ça faisait trois ans que mon coeur battait pour elle et trois ans que je me disais qu'un beau jour elle refranchisserait la porte de ma maison pour me dire la vérité , une vérité que j'attends depuis tellement de temps . Mais, j'attendais surtout une chose qu'elle me dise ses trois petits mots que tout le monde attend au moins une fois dans nos vies . Je lui avais dit que je l'aimais il y a trois ans, maintenant c'était à son tour de me le dire j'attendais sa avec impatience, moi qui pensais ne plus avoir aucun sentiment pour elle c'était encore faux, je me mentais encore a moi-même ... Pendant trois ans je me disais qu'elle n'en n'avait rien à faire de moi, elle avait beau m'avoir brisé le coeur je pensais qu'elle s'en fichait qu'elle ne regrettait rien puisqu'elle m'avait dit le fond de sa pensée . Mais aujourd'hui, je savais qu'elle regrettait de tout son coeur et que si elle pouvait elle retournerait en hier pour tout changer . Mais peut-être que d'avoir été séparer pendant trois ans et d'être ensemble maintenant, c'était peut-être un signe ... ça en valait peut-être la peine ? Ça personne ne pourra jamais nous dire si c'était bien ou non . Au fond de moi je regrettais un peu de ne pas l'avoir retenu, mais après le vent qu'elle m'avait mis j'avais été comme paralysé et je n'avais pas réussi à sortir un mot avant qu'elle ne parte de chez moi et qu'elle ne revienne pas..
Elle venait de me faire un bien fou elle ne devait pas s'imaginer ce qu'elle venait de me dire . Je l'avais toujours su au fond de moi qu'elle ressentait tout de même quelque chose pour moi , et j'avais beau lui avoir dit d'arrêter de lutter elle ne m'avait rien avoué jusqu'à aujourd'hui ... Je crois que c'est le plus beau jour de ma vie, le jour ou la plus belle femme du monde dont je suis amoureux vient de me dire qu'elle m'aime et qu'elle m'aimerait toujours et moi je suis là à regarder droit devant moi à la place de me jeter sur elle et de l'embrasser . Il ne me fallut pas plus de deux secondes avant de me retourner et m'avancer vers elle pour l'embrasser amoureusement . Mes mains se baladèrent sur son visage, sa joue et sa nuque en continuant de prolonger notre premier baiser . Un premier baiser comme je n'avais jamais encore eu, il était doux, amoureux et tendre et j'étais comme dans un autre monde et je n'arrivais même plus à m'arrêter de l'embrasser, c'était ... WAAAHH ! Je m'arrêtai quelques instants de façon à lui dire le fond de ma pensée et la jeune femme répliqua quelques instants après . J'écoutais ce qu'elle me disait les larmes aux yeux, c'était tellement beau tout ce qu'elle me disait, je n'aurais jamais cru entendre ses belles paroles sortirent de sa bouche pour moi . Je me mordais la lèvre en laissant ma main sur sa joue et je lui répondis quelques instants après : « Sans cesse je me disais que tu passerais la porte de ma maison et que tu me dirais que tu as menti et que tu regrettes et que tu m'aimes, trois ans ... trois ans que je t'aime toujours au temps . Je devrais t'en vouloir à mort être rancunier, mais pas avec toi je n'y arriverais pas ... Une chance s'ouvre à nous et je ne veux surtout pas la râter , je veux notre chance ! Je veux que tu fasses partie de ma vie, quand tu m'as dit que tu m'aimais je me suis sentis comme libérés et comme soulager de savoir que j'étais aimé moi aussi, alors maintenant que tu es là avec moi ... je ne veux plus te perdre et je veux que tu me promettes de ne plus jamais avoir peur avec moi et surtout de ne plus jamais partir . Ne m'abandonne plus jamais, je n'y arriverais pas sans toi ... pas cette fois . » Toutes ses phrases qu'elle enchainait une par une et qui me disait que j'étais sa lumière, son soleil, son ange, son espoir, son essentiel, sa dose d'héroïne. Son amour, l'homme de sa vie. Mon coeur s'emballait et je lui dis alors d'une petite voix douce et amoureuse : « On ne m'a jamais encore dit quelque chose d'aussi joli que ce que tu viens de me dire ... tu le penses vraiment ? Berry', tu es tout pour moi ... tu représentes tellement de choses pour moi qu'il me faudrait plus d'un siècle pour te les nommés une part une ... Je ne pourrais pas vivre sans toi, tu es mon oxygène ! » Alors qu'elle allait reposer ses lèvres délicatement sur les miennes, elle sourit amuser en me disant que son rouge a lèvres sur les miennes m'allait parfaitement ! Je ris à sa remarque et elle sort un petit mouchoir pour m'essuyer mes lèvres avant de les reposer délicatement sur les miennes . Je la tenais par les hanches en prolongeant amoureusement, c'était comme un rêve ... des petites étoiles nous entouraient . Je collai une seconde fois mon front contre le sien avant de lui dire : « Dis-moi, c'est officielle toi et moi ? Ou ... tu ne sais pas encore ? » Je descendis mes mains pour prendre les siennes et encroiser nos doigts .
Strawberry A. Kaplan
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Sujet: Re: I had to find You, tell You I need You. Tell You I set You apart. | Gabriel. ♥ Mer 26 Oct - 19:15
Gabriel & Strawberry I HAD TO FIND YOU, TELL YOU I NEED YOU. TELL YOU I SET YOU APART.
Les apparences peuvent être parfois trompeuses. Elles divergent, nous mènent à nous poser certaines questions, parfois. Le destin nous pousse à prendre nos propres décisions, à faire nos propres choix, en sachant pertinement qu'au petit matin, il faut savoir en subir les conséquences... Par moment, nous regrettons les actes que nous sommes contraints de faire. Les sacrifices que nous avons commis. On se dit "Pourquoi moi ?" Pourquoi c'est arriver ?" Et puis il y a d'autres décisions, qui en valent la peine. Comme le fait de protéger un ami, de dire ce qu'on ressent à la personne qu'on aime. A dire vrai, jamais je ne me serais imaginer qu'un jour, je retomberais amoureuse. Que je dévoilerais toute la vérité à Gabriel, qui, jusqu'à aujourd'hui, avait toujours était un ami proche. Autant au sens propre que figurer. Peut-être, que, si j'avais oser le faire plus tôt, ou qu'on m'aurait demander si j'avais quelqu'un en vue, je me serais sans nul doute mise à rire, en confirmant le contraire. Que l'amour, ça faisait mal, et que seul les plus fous oser prendre un tel risque que d'avouer ses sentiments. Mais auourd'hui, c'était différent... Même largement différent. Je n'aurais jamais crue, qu'un jour où l'autre. Qu'une belle journée pour le mois banale et ensoleiller deviendrait un jour important. Autant pour le beau jeune homme, que pour moi-même. Jamais, je n'avais oser me dire, que je finirais par lui avouer la vérité, et pourtant... J'avais pris mon courage à deux mains. J'avais oser prendre un énorme risque, en sachant bien que, je pouvais perdre mon cher Gabriel, définitivement. Autant en ami, qu'en amour. Mais, je n'avais pu m'en empêcher. Me retenir, attendre un minute de plus... Et quitte à sortir de sa vie, au moins, je repartais en lui offrant mon coeur. Oh certes, il aurait pu me le briser, le démolir, le piétinner, le bousiller, tout comme j'avais fait de même pour lui, mais non. Au contraire ! Au moment où je m'apprêtais à partir, sortir du parc, le beau brun m'interpella, m'obligeant ainsi, à me retourner pour le toiser avec étonnement. Je m'étais alors attendu à subir sa colère, à entendre des insultes qui me blesserait profondément, mais à la place, j'eu le droit à un doux et tendre baiser, amoureux, qui dura rerlativement longtemps. Je l'avais alors prolonger avec passion, enroulant ainsi mes bras autour de sa nuque, avant de l'écoutait avec la plus grande attention qu'il y soit. Puis, j'avais agis à mon tour, en lui avouant tout ce que j'avais sur le coeur. Ce qui eut dont de faire sourire ce bel ange, qui me caresser la joue, les mains. Passer ses mains dans mes longs cheveux bruns chocolat. Je ne pu m'empêcher, de frissonner, de partout, à son contact, et en fit tout autant. J'étais si soulagée, si heureuse. Pas seulement pour le fait, que tout s'arranger, grâce à mon cher et tendre Gabriel, mais aussi, parce que cela me réchauffer le coeur de le voir sourire, bien dans sa peau, pour une fois, depuis de nombreux jours, de nombreuses semaines. Des mois, trois années entières. J'aurais voulu rester ainsi, pour l'eternité. Le contempler à tout instants, le voir sourire et rire aux éclats, l'embrasser, me blottir dans ses bras. Profiter de tout ces instants paisible et de bonheur intense.
« Comme quoi... J'ai pris beaucoup trop de temps à réagir, et te dire que je t'aimais aussi, mais... Mieux vaut tard que jamais, comme on dit ! Et bien que j'en sois énormément soulagée, que je suis heureuse et reconnaissante de savoir que tu veuilles toujours de moi, malgré tout ce que je t'ai dis, j'en suis vraiment et encore désolée pour tout. Je n'aurais jamais dû me comporter aussi stupidement, mais ça m'a fait comprendre au moins une chose. C'est que je t'aime vraiment et sincèrement. Et crois-moi, je suis vraiment heureuse, également, que tu te sents mieux. Je sais que sans quoi, je m'en serais certainement mordu les doigts pour toujours. Je regrette tellement de t'avoir fait du mal, alors que tu ne le méritais en aucunement. Et moi non plus, je ne veux vraiment plus te perdre. J'ai déjà était idiote, alors non... Je ne pourrais pas vivre sans toi. Sans être à tes côtés, et te rendre heureux, comme tu l'as toujours rêver. Et je te jure, je te promets solennellement, que je ne te laisserais plus jamais seul, et que je n'aurais plus aucune crainte. Que je ne serais plus effrayer à l'idée de partager cette vie avec toi. La seule raison qui me fairait peur, désormais, c'est de te perdre ou de savoir que ton coeur ne batte plus pour moi. »
Lui dis-je, sur un ton tout à fait grave, bien que doux à la fois, en le toisant avec sérieux, comme pour confirmer mes paroles. Puis, je lui adressais de nouveau un magnifique sourire, pour le mois amoureux et béat, avant de lui essuyer avec une délicatesse incomparable, les larmes qui commencer à perler doucement, le long de ses joues. Oui... J'avais déjà fait l'erreur de le perdre, alors désormais, je ne commettrais plus ce genre de chose. J'allais rester avec mon bien aimé, l'aider, le soutenir, le protéger, l'écouter, l'aimais plus que tout, dans les bons comme dans les pires moments de notre vie. Je ne cachais le fait, qu'il y aura des jours où l'on sera à cran. Bien entendu, il y a aura des moments où on connaitra des hauts et des bas, mais je jurer sur ma vie, si il fallait, qu'on franchirrait ces caps, contre vents et marrais. Que je serais toujours là, pour le bel apollon, quoi qu'il advienne. Tout comme lui l'avat toujours était pour moi.
C'est une fois que j'avouais tout ce que j'avais sur le coeur, tout ce que je penser de mon bel ange, que je me surpris à entendre, qu'on n'avait jamais oser lui dire tout ceci. Toutes ces jolies paroles, comme ce dernier venait si bien de le dire. Je le toisais alors avec étonnement, durant quelques longs instants, qui parurent étrangement s'éternisé, sans savoir quoi ajouter. Tout du moins, jusqu'à-ce que je me reprenne tranquillement.
« Vraiment, mon ange ? Personne ne t'as jamais dis ça ? Même ne serait-ce qu'une toute petite fois ? Oui, bien sur que je le pense! Même de plus profond de mon coeur, sinon, je ne t'aurais certainement jamais avouer tout ceci. Je ne t'aurais jamais dis tout ce que j'avais sur le coeur, depuis le tout début ! Et je te remercies. Vraiment, ça me touche, mais... Ce n'est pas la peine. Seulement toi et uniquement toi, compte. Je sais que je n'ai besoin de rien d'autres, de personnes d'autres que toi, Gabriel. Et toi, tu es ma raison de vivre. »
Je lui caressais alors la joue, à nouveau, avec douceur, tout en m'apprêtant à sceller de nouveau mes lèvres contre les siennes, quand soudainement, je m'aperçu que le beau brun avait la marque de mon rouge à lèvre. Je lui avouais alors, d'un petit air amusé, histoire de détendre l'atmosphère, que ça lui allait à merveille, avant même de lui essuyais la bouche, à l'aide d'un mouchoir. Je le vis donc échapper un léger et doux rire argentin, qui me fit sourire d'avantage. Cela me réchauffer le coeur de le voir aussi paisible et heureux. J'étais tout aussi soulagée et comblée de tout ceci s'arrange enfin. Alors que cette affaire durer depuis bien trop longtemp, déjà... Je joigna ainsi, mon rire au sien, avant même de ranger soigneusement le tissu dans la poche de ma veste, pour enfin, l'embrasser tendrement et amoureusement, comme c'était prévu. Tout était parfait. Plus rien ni personne ne pouvait briser notre lien. J'avais comme l'impression de planer, d'être sur un petit nuage. J'avais comme l'impression de rêver, et pourtant tout ceci était bel et bien réel. Gabriel était bien là, en face de moi. On s'échanger un doux et langoureux baiser, pour la seconde fois. Et par chance, cela n'en serait guerre le dernier, croyez-moi ! Je sentis alors mon cher et tendre bien aimé, poser en douceur ses mains sur mes hanches. Ce qui eu l'effet escompter de me faire frissonner d'autant plus. Je glissais donc mes mains, et les poser sur son torse musclé, en prolongeant avec amour et passion, notre baiser. Mais, après quelques longues minutes, le beau jeune homme colla à nouveau son front contre le mien. Je fermais alors les yeux, profitant de ce doux moment, quand soudainement, l'amour de ma vie me demanda d'une voix calme et suave, si notre relation était enfin officielle, ou si au contraire, j'hsitais encore... Je rouvris mes paupières, le regardant aec amour et tendresse, et le rassura directement sur ses intentions.
« C'est officiel, je te le promets. Toute cette histoire m'a fait comprendre que je ne veux plus hésiter, que je veux profiter de chaque instant, chaque seconde avec toi. Que je veux être liée à toi, aussi longtemps que tu voudra de moi. Je t'aime, je te veux toi et personnes d'autres. Je veux profiter de tout ces futurs moments qu'on partagera uniquement ensemble, et qui seront tout aussi magique et inoubliable. Je veux qu'on construise notre avenir, petit à petit. Qu'un jour, on puisse avoir des projets, habiter ensemble. Que tu me demandes en mariage, si c'est aussi ce que tu souhaites. Je veux avoir des enfants, les voir grandir, et avoir des petits enfants. Viellir avec toi. Je veux tout, je te veux toujours plus depuis le commencement. »
Lui confessais-je, d'une vois on ne peut plus douce et rassurante, en serrant délicatement ses mains, dans les miennes. En entrecroisant jusqu'au bout, mes doigts dans les siens. En le fixant amoureusement, et de ce petit air totalement stupide, tout en lui adressant un mignon petit rictus, et en patientant sagement, sa réponse. De voir sa réaction...
Dernière édition par Strawberry A. Kaplan le Sam 29 Oct - 0:19, édité 2 fois
Gabriel A. Cooper
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Sujet: Re: I had to find You, tell You I need You. Tell You I set You apart. | Gabriel. ♥ Mer 26 Oct - 21:52
♣ I HAD TO FIND YOU, TELL YOU I NEED YOU . TELL YOU I SET YOU APART ♣ Gabriel & Strawberry ♥
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Qui ne voudrait pas être heureux dans ce monde ? Qui ne voudrait pas connaitre l'amour ? Qui ne voudrait pas trouver la femme ou l'homme de sa vie ? Même quand on est jeune et que nous ne sommes pas prêts à trouver l'amour et que l'on préfère s'amuser et coucher avec n'importe qui tôt ou tard on veut connaitre l'amour, on en a marre de jouer et de ne pas être aimé ... À croire que c'était l'heure pour moi, pour nous de connaitre enfin l'amour, de s'aimer ... En tous cas, je me sentais prêt j'étais prêt à aimer cette fille et de la rendre heureuse et de rester avec elle dans les bons comme dans les mauvais moments . Mon coeur battait pour elle et pour moi c'était comme un signe, j'avais beau lui en vouloir encore un peu au fond de moi je savais que c'était un signe, un signe qui me disait de saisir cette chance parce qu'elle ne se présenterait pas une seconde fois, peut-être que c'était elle la femme de ma vie et je dois vous avouer que je l’espérais je voulais faire ma vie avec elle et avec personne d'autre . Être contre elle, c'était comme une drogue à présent . J'aimais la toucher et sentir sa peau sur ma main et caresser ses longs cheveux châtains . Elle me disait tellement de chose gentil et qui me faisait rêver que je ne pouvais m'empêcher de lui faire la remarque et de déposer des baisers sur ses joues, au coin de ses lèvres et sur son front . Maintenant que je l'aimais et que l'on était ensemble, j'avais peur de la perdre .. peur qu'elle ne m'abandonne une seconde ou carrément qu'un homme mieux que moi arrive et chamboule tout entre elle et moi, qu'elle tombe amoureuse de lui et qu'elle décide de me quitter sans plus d'explications rien que de penser à ça, une grosse boule de stress envahissait ma poitrine . Je devais arrêter de me faire des films dans ma tête, elle était là et d'après ce qu'elle me disait elle ne voulait pas partir ce qui me rassurait je vous l'assure . Je laissai un petit rictus s'installer sur mes lèvres en la regardant, je savais qu'elle était sincère même pas la peine de regarder son sourire sincère et son regard sincère, ces paroles étaient déjà sincères et je lui faisais confiance à 100% . « Je sais que tu es sincère, je te fais confiance ... Mon coeur est à toi pour toujours, il ne battra jamais pour une autre personne que toi et tu ne me perdras jamais , je suis amoureux de toi comme je ne les jamais été de personne . C'est toi et moi pour toujours . Non je te jure aucune fille ne m'a jamais dit de t'elle chose, aussi belle et gentille à la fois . Tu es la première et la dernière, aucune autre femme que toi entreras dans mon coeur et me dira encore moins des choses comme celle que tu me dis en ce moment même . Dès que tu me parles et que tu me souris, tu fais de moi l'homme le plus heureux de cette terre.. » Elle me caresse la joue à son tour avec la paume de la main jusqu'à ce qu'elle veuille une troisième fois déposer ses lèvres contre les miennes après les avoir essuyés car mes lèvres avaient la marque de son rouge a lèvres . Ses lèvres étaient toujours aussi douce et encore plus délicieuse qu'il y a deux minutes, ça me faisait tellement de bien ses baisers ... j'avais comme l'impression de m'envoler au contact de ses lèvres . Mes yeux se fermèrent avant de prolonger d'une façon plus langoureusement en sentant sa langue par la suite, je déposa une de mes mains dans le bas de son dos en la laissant placer ses deux mains autour de ma nuque . J'étais tellement bien avec elle, mais quelque chose me tracassait tout de même et je ne me retins pas plus de trois minutes avant de lui demander ce qui me tracassait depuis peu de temps . J'étais loin de m'imaginer qu'elle me répondrait ça, je restai alors bouche bé quelques secondes et je lui dis d'une façon assez surprise mais avec ton tellement heureux : « Je n'aurais jamais cru que tu me répondrais ça . Je suis encore plus heureux, bien évidemment que je veux la même chose . Je veux une chance avec toi, je veux que tu soies à mes côtés a chaque instant de ma vie, je te veux dans mes bras a chaque seconde, je te veux rien qu'à moi et pour toujours ... je ne veux surtout pas te perdre ! Je veux que tu soies la femme de mes enfants et je veux vraiment un avenir ! Depuis le début je savais que ça serait toi ... à la première seconde ou j'ai croisé ton regard, j'ai su que ça serait toi ... » Elle serra ses mains aux miennes ce qui me fit sourire . Je crois que le fleuve allait être un lieu sacré à partir de maintenant , l'endroit où la femme que j'aime est revenu à moi et le jour ou je me suis rendu compte que c'était elle ... Je lui souris et je dis en regardant autour de nous : « C'est définitif, cet endroit va être un lieu sacré maintenant ! C'est ici que mon coeur s'est remis à battre, c'est ici que la femme dont je suis amoureux m'a avoué ses sentiments et c'est ici que j'ai compris qu'elle m'aimait au temps que je l'aime ... » Je m'approchai avant de l'embrasser doucement dans le cou et je laissai mes mains glisser sur ses cuisses pour la soulever et laisser ses jambes se mètrent autour de mes hanches ce qui me fit rire et je la plaquai doucement et gentiment contre un arbre et je l'embrassai langoureusement puis tendrement . Je commençais à avoir un peu froid je dois vous l'avouer et il commençait à faire sombre, je continuai de l'embrasser jusqu'à m'arrêter et de lui dire avec toujours ce très beau sourire à mes lèvres et mon ton joyeux : « Une soirée entre toi et moi ça te dit , mon amour ? » J'attendais sa réponse en la tenant toujours et en continuant de déposer quelques baisers dans son cou ..
Strawberry A. Kaplan
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Sujet: Re: I had to find You, tell You I need You. Tell You I set You apart. | Gabriel. ♥ Sam 29 Oct - 0:17
Gabriel & Strawberry I HAD TO FIND YOU, TELL YOU I NEED YOU. TELL YOU I SET YOU APART.
C'est tout à fait étrange, car... Quand on est tout petits, on se dit que l'amour, c'est dégoutant, répugnant. On se promets de ne jamais tomber amoureux, car les baisers c'est quelque chose d'immonde. Un simple petit bisou sur la joue, et tout les enfants hurlent en courrant dans tout les sens. Et puis... En grandissant, on finit par changer, petit à petit. Tout dépends des personnes aussi. D'autres se disent que l'amour, c'est nul, c'est pas pour eux. Ca craint, ça fait souffrir. Bon... Certes, on a toujours mal à un moment donner, c'est vrai... Mais, ce sentiment vallait le coup de se battre jusqu'au bout. Je me rappelle encore, comme si c'était hier, avoir dit à ma mère que je ne tomberais jamais amoureuse de quiconque, car à l'époque, j'étais révolter, en colère, contre l'amour. Je me disais que si j'en prenais un jour le risque, j'allais finir par être malheureuse, comme ma mère. Faut dire, quand on voit ses parents divorcer, surtout étant jeune, nous n'avons guerre l'envie de suivre le même chemin qu'eux. Pourtant, dès que j'eu atteinds l'âge de treize/quatorze ans, je rompu ma promesse. En effet, j'étais tomber sous le charme d'un de mes amis et voisin. Mais, je ne le regrettais point. Même bien au contraire! J'avais beau avoir vécue quelques peines d'amour, j'en étais pourtant tout à fait heureuse d'avoir connu ce sentiments merveilleux, qui vous rends si bien, si épanouis et combler. Je me dis que... Si je n'avais guerre connue tout ceci, je n'aurais jamais eu la chance de tomber sur Gabriel, et encore moins tomber folle amoureuse de ce dernier. Et maintenant, que j'avais enfin la chance unique d'être avec mon bien aimé, croyez-moi que je n'allais certainement pas m'en privé ! J'allais tout faire pour passer le plus de temps possible, à ses côtés, sans trop le coller non plus. Le rendre heureux, au point de ne manquer de rien. Je l'aimais lui et personnes d'autres, et ça, j'en était plus que sûre. Personnes ne pourra l'égaler, ni le remplacer, j'en donner ma parole. Et puis... Comment je pourrais en aimer un autre, alors que le bel apollon était si gentil et attentionné, si charmant, attendrissant, adorable, attachant, marrant, patient avec moi ? Il était absolument parfait, et rien ni personne ne pourra me faire changer d'avis. C'était lui, mon soleil, ma lumière qui éclairer mes nuits. Mon essentiel, mon exygène. La flamme qui à su rallumer mon coeur et me redonner l'espoir. Il était le sens de ma vie. Mon amour, mon ange, l'homme de ma vie. Ma perle rare. Et jamais, Ô grand jamais, je ne le laisserai tomber. J'avais déjà faillit le perdre, quelques minutes plus tôt, alors non... Je n'en prendrais plus le risque, désormais.
J'avais alors ouvert mon coeur. Je le lui avait donner, tout comme le beau brun m'avait donner le sien. Mais, je ne pouvais m'arrêter, je continuais donc de lui avouait tout ce que je ressentais pour lui, pendant que mon cher amour prenait grand soin de me déposais des doux petits baisers sur les joues, le front, mes lèvres. D'agréables frissons m'envahir, et je fermer les yeux, pour apprécier ses gestes tendres. Bien que je ne pouvais m'empêcher de le toiser avec amour et tendresse, ne cessant de lui caresser la joue, le visage. Mon dieu, ce qu'il pouvait être divinement beau, comme ça, en m'adressant dess petits rictus qui le rendait encore plus mignon et attandrissant. Je pourrais le contempler des heures et des heures entières, l'admirer jusqu'à pas d'heures, que je ne m'en lasserais sans doute jamais. Mais, après quelques instants, je le vis prendre une mine plutôt inquiête. Comme si quelque chose le perturber. Je l'écoutais alors avec attention, avant de prendre la peine de le rassurer. C'est alors que le beau jeune homme m'avoua qu'il avait confiance en moi. Qu'il m'aimait, comme jamais personnes n'oserait autant. Que c'était nous pour toujours, l'éternité. Je ne pu qu'être toucher par ses jolies paroles, qui je voyais parfaitement, était tout à fait sincères. Je pris grand soin, alors, de glisser mes mains, le longs de ses bras, pour le moins musclés, avant qu'elles n'atterrisent délicatement dans ses mains. Je lui adressais un mignon petit rictus, dont j'avais le secret, et lui adresser la parole, à mon tour...
« Merci, tu es un ange. Et je te promets que j'en prendrais grand soin. Mon coeur, mon âme n'appartient également qu'à toi, et uniquement à toi, pour l'éternité, et il ne batterais jamais que pour toi. Et je l'espère, car je ne sais vraiment pas ce que je deviendrais sans toi. Et ça me touche vraiment. Je... Tu te douteras bien que j'ai était naturellement amoureuse, bien avant de t'avoir rencontrer, mais ça n'a jamas était aussi fort, aussi puissant et sincère, qu'avec toi. Je t'aime tellement. Et ça, c'est promis. Ca sera toujours toi et moi, aussi longtemps que ça durera. Et ça, rien ni personne ne pourra nous contredire, ni changer quoi que se soit. Et bien, je suis plus qu'étonnée ! Pourtant, tu le mérites. Tu mérites vraiment qu'on te dise tout ceci, qu'on te montre amour et affection ! Et ça aussi, je l'espère, sinon... J'aurais du mourron à me faire ! Plus sérieusement... Je te fais la promesse, aussi, qu'il n'y aura jamais personnes d'autres que toi. Aucun homme, hormis toi. Je t'aime et ça, je sais que personnes ne t'égalera jamais, ni te remplacera. Mon coeur t'appartient pour toujours. Et crois-moi, je fairais absolument tout, pour te rendre heureux, et te combler comme jamais. »
Je lui caressa alors la joue, soigneusement, à l'aide la paume de ma main, avant même de déposer, une fois de plus, mes lèvres sur celles du beau garçon. Je pris grand soin de passais mes mains, autour de sa nuque, pendant que mon bel ange, poser en douceur ses mains, dans le bas de mon dos. J'en profitais doc pour me blottir d'avantage contre ce dernier, prolongeant notre doux baiser langoureusement, et avec amour et passion. Je ne pouvais me passer de sentir sa peau aussi douce et crémeuse, comme une peau de bébé. Je voulais me serrer dans ses bras, encore et encore. Pouvoir l'embrasser à l'infini, sans jamais m'en lasser. Pouvoir me réveiller le matin, et le voir dormir paisiblement. Je voulais vivre tout ceci avec le beau brun... Nous aurions pu rester ainsi durant longtemps, très longtemps, mais, à la place, quelque chose tracassa le jeune homme, qui me révéla tout. Je le rassurer, alors, une seconde fois, en prenant grand soin de lui prendre les mains, en douceur, pour pouvoir les serrer. A ce moment si précis, je vis mon cher et tendre bien aimer, changer radicalement d'expression. Me sortir de gros yeux, tel un hibou. - et dieu sait comme c'est charmant ! - Comme si ce que je venais de lui avouais, ne l'avait guerre suffit. J'eu donc soudainement peur. Et si c'était vrai ? Dans ce cas, je n'attendrais pas plus longtemps pour m'agenouiller, si il le fallait, en lui disant que ce n'était guerre des paroles en l'air. Peut-être, qu'l y a quelques années, je n'aurais sû le dire. J'aurais même certainement rigoler, en avouant que c'était ridicule. Mais non... Aujoud'hui, je le pensais vraiment. Je comprenais parfaitement que je ne pourrais jamais aimer une autre personne que Gabriel, que jamais je ne pourrais vivre sans lui. Et même si on avait encore bien du temps pour penser à tout cela. Même si notre grande et belle histoire, ne faisait que débuter, je voulais vraiment qu'un jour, on puisse arriver à toutes ces étapes. Qu'on habite ensemble, qu'on se maris, qu'on soit entourer de nos enfants et nos petits enfants, dans une grande et belle demeure. Qu'on vivrait tous heureux jusqu'à la fin des temps. Comme il est si bien écrit dans les belles histoires. Je m'apprêtais alors, à le faire, sans ménagement, mais au lieu de quoi, mon cher Gabriel me déclara, d'in ton joyeux : « Je n'aurais jamais cru que tu me répondrais ça. Je suis encore plus heureux. Bien évidemment que je veux la même chose. Je veux une chance avec toi, je veux que tu sois à mes côtés a chaque instant de ma vie, je te veux dans mes bras a chaque seconde, je te veux rien qu'à moi et pour toujours... Je ne veux surtout pas te perdre ! Je veux que tu sois la femme de mes enfants et je veux vraiment un avenir ! Depuis le début je savais que ça serait toi... A la première seconde ou j'ai croisé ton regard, j'ai su que ça serait toi... » Je lui adressais, ainsi, un grand et magnifique sourire, pour le moins attendrit. C'était tellement mignon. Vous ne pouvez vous imaginez à quel point, j'étais toujours par toutes les paroles de mon bien aimé. Je ne pu m'empêcher, une minute de plus, de le prendre dans mes bras, fermant ainsi les yeux, durant quelques longs instants. Sentant mon coeur battre la chamade. Puis, je me reculais légèrement, tout restant tout de même, très près de l'homme de ma vie, souriant toujours. Surtout quand je vis ce dernier en faire tout autant.
« Vraiment, mon coeur ? Pourtant, crois-moi, tu mérites largement qu'on te dise tout ceci. Et sache que c'est sincère, et que tu es la seule personne à qui je dis cela. Il y a quelques années, j'aurais certainement ris, mais là... C'est différent. Tu n'es pas n'importe qui, et... Je t'aime vraiment, au point de tout faire pour toi. Je suis vraiment heureuse que tu le sois, mais... Crois-moi, mon amour, il n'y aura pas que cela qui te rendra heureux ! Je suis sûre que la vie nous réservera pleins d'autres surprises. Oh moi aussi. Je veux pouvoir me blottir contre toi, sentir ton odeur, te voir sourire et rire aux éclats. Je voudrais pouvoir me réveiller à tes côtés, et te regarder dormir. Pouvoir t'embrasser, te toucher. Sentir ta peau contre la mienne. Je veux qu'on soit liés pour toujours, sans que personne ne puissent nous briser. Je veux qu'on soit dans une belle te grande maison, entourer de nos enfants. Te contempler pendant que tu leur liras une histoire, que tu joueras avec eux. Qu'ils soit fières d'avoir un père aussi execptionnel et parfait que toi.. D'avoir un mari absolument charmant, qui me fait rire. Ca serait mon plus grand bonheur. Et même si on a encore tout le temps pour penser à ce genre de choses, je serais absolument prête à tout sacrifier, pour qu'on en arrive là, un jour. Moi aussi, je savais que tu serais le bon. Que tu ne me fairais jamais souffrir, même si durant longtemps je me suis voiler la face. Je t'aime tellement. »
Lui avouais-je, sans crier gare, toujours tout sourire aux lèvres, en le toisant intensément. Par ailleurs, mon ange en faisait de même. Je sentis alors mon coeur battre à toute allure, sans cesse. Puis, je le vis regarder, après quelques instants, qui s'écoulèrent aussi rapidement que du sable, les alentours, en claironnant d'une petite voix suave : « C'est définitif, cet endroit va être un lieu sacré maintenant ! C'est ici que mon coeur s'est remis à battre, c'est ici que la femme dont je suis amoureux m'a avoué ses sentiments et c'est ici que j'ai compris qu'elle m'aimait autant que je l'aime... » Oh, c'était tellement chou comme tout ! Il était tellement craquant à cet instant si précis et magique, que j'avais bien envie de le serrer fort dans mes bras, de l'embrasser avec passion, comme jamais personnes n'aurait jamais fait. J'avais envie de crier partout sur tous les toits que j'aime mon cher et tendre Gabriel. J'avais une folle envie sautiller partout, mais, au lieu de quoi, je ne pu m'empêcher d'en faire de même. De fixait les lieux, d'un petit air joyeux. Il avait raison, ce petit parc, ce fleuve représentait absolument tout, à présent... C'était un petit coin charmant et paisble où le beau jeune homme m'avait pardonner, où on s'était avouer nos sentiments. On a échanger des promesses, qui j'étais sûre et certaine, serait toujours tenues.
« Et c'est également ici qu'on partagera bien d'autres moments tout aussi magiques et inoubliables. C'est ici que je me suis faite pardonner par l'homme le plus extraordinaire, le plus attachant et gentil que je connaisse, le plus parfait qui soit, et dont j'ai réussis à avouer mes sentiments, alors que j'aurais très bien pu le perdre. Tu as raison... Ce lieu sera le notre. Notre petit coin de paradis où on a connu nos premiers instants de pur bonheur. »
Je posais de nouveau mon regard, toute mon attention sur mon bien aimé, qui pris la décision de me déposer des doux et légers petits baisers dans le cou. Zone tout à fait sensible, qui en général, me faisait craquer. Je frisssonais ainsi de nouveau, avant même de glisser mes mains aux niveau de son torse, pour le moins musclé et affiné. Puis, je l'embrassais tendrement sur les lèvres, avant de m'attarder sur son lobe d'oreille, que je mordillais, sans lui faire de mal, cependant. C'est alors que mon bel apollon si parfait, glissa avec une grande délicatesse, ses mains vers mes cuisses, afin de pouvoir me soulever. J'enroulais, alors automatiquement mes jambes, autour de sa taille, joignant ainsi mon léger rire, au sien. Quelques instants plus tard, je me retrouvais ainsi, dos à un arbre, prolongeant avec amour son doux baiser langoureux. Bon sang, il fallait surtout pas me tenter ainsi, sinon, j'aurais bien envie de lui, là, maintenant, tout de suite ! Et faut l'avouer... Même si il commencer à faire sombre, et qui ne rester pratiquement plus personne dans le coin, c'était peut-être assez... Insolite et peu conventionnel, non ? Néamoins, cela ne m'empêcha guerre de prolonger son doux baiser, tendrement, tout en m'amusant à faire glisser mes doigts, le longs des bras de celui-ci, histoire de le faire frissonner, à son tour. Puis, le beau brun s'arrêta, à mon plus grand étonnement, pour me demander, en m'adressant un grand sourire Colgate, si je voulais passer une belle soirée, rien que lui et moi. En amoureux. Je le toisais donc, durant quelques minutes, en hôchant la tête pour approuver.
« Et comment, mon ange ! Ca sera avec grand plaisir, même ! »
Rétorquais-je, en lui retournant un mignon petit rictus, avant même de me mordre la lèvre inférieure, quand ce dernier continua son ascension des doux et tendre petits bisous sur mon cou. Je posais alors, mes mains sous son tee-shirt, et l'embrassais tendrement, sur les lèvres, avant même de la lui mordiller, délicatement.
Gabriel A. Cooper
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Sujet: Re: I had to find You, tell You I need You. Tell You I set You apart. | Gabriel. ♥ Sam 29 Oct - 14:12
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Je n'aurais jamais cru trouver l'âme soeur aussi rapidement . Peut-être que ce n'était pas Berry', peut-être qu'un jour le perdrait ou je ne sais pas autre chose . Mais en tout cas elle est et resterait mon premier amour, la première qui a réussi à toucher et à me voler mon coeur . Avant elle je ne savais pas ce que c'était l'amour ou du moins je pensais le connaître sans être vraiment sûr, j'étais tout de même sorti avec plusieurs filles avant Berry ' et aucune ne m'avait fait l'effet que Berry ' me faisait a cette instant même . Elle me disait tellement de choses belle qui me donnait envie de pleurer comme un gamin devant elle, elle me disait des choses tellement gentilles que même en réunissant toutes les filles avec qui je suis sortis elles ne faisaient pas le poids face à Berry ' . Mon coeur ne pouvait plus s'arrêter, mes yeux ne pouvaient s'empêcher de regard les siens avec amour et délicatesse . C'était elle a présent mon bonheur, c'était sur elle sur qui j'allais me reposer à tout moment , c'était à elle a qui j'allais me confier, c'était elle que j'allais embrasser ou encore que j'allais prendre dans mes bras dans les pires moments comme dans les meilleurs ... Je n'aurais jamais cru que ce jour serait le plus beau et le plus merveilleux de toute ma vie et pourtant ce jour l'était . C'était le plus beau jour de ma vie et j’espérais en avoir d'autres de très belles journées avec elle ... On allait passer des journées entièrent à s'embrasser à se faire des câlins et faire plus parfois ce qui me donnait envie de commencer maintenant, j'avais tellement hâte de lui donner tous les plus beaux surnoms que l'on puisse donner à sa petite amie : mon coeur, mon amour, chérie, bébé ... Aujourd'hui, je prenais comme un engagement avec elle..Je serais bien resté avec elle des heures et des heures au Fleuve mais je commençais sérieusement à avoir froid et sentir des frissons m'envahir . C'était elle qui me provoquait ses frissons, enfaite ... Elle répondit à ma phrase ce qui me fit sourire, elle était trop belle et trop gentille pour moi . Je lui caressai la joue à tout ce qu'elle me disait et qui me faisait horriblement plaisir : « Merci ma puce, mais tout ce que tu viens de me dire je veux juste que sa sorte de ta bouche, je n'ai pas besoin que quelqu'un d'autre me dise ça ... je m'en fous des autres le plus important c'est toi et je serais à partir de maintenant que quand tu me diras toutes ces choses ça voudra dire que tu m'aimes toujours comme le premier jour ... Moi aussi je suis sortis avec plusieurs filles et aucune ne t'arrivait à la cheville, je pensais trouver l'amour avec toutes ces filles et enfaite ... depuis que je t'embrassais et depuis que tu m'as dit que tu m'aimais, j'ai l'impression que je viens juste de connaitre l'amour ... tu es mon premier amour et la fille qui m'a fait découvrir ce que s'était ... Je ferais tout pour te rendre heureuse moi aussi, tu sais ... » J'avais vraiment l'impression qu'elle voulait un avenir avec moi, tout comme moi je voulais un avenir avec elle ... Des enfants, un mariage et une grande maison . Ce n'était pas pour tout de suite évidemment , mais je trouvais ça bien déjà qu'elle me dise tout ça, car je ne voyais pas l'utiliter à m'engager avec quelqu'un si elle ne voyait aucun projet d'avenir, pas d'enfants ... Au temps ne rien commencer si la personne avec qui on est ne veut pas avancer et aller plus loin . L'écoutez me dire qu'elle voulait me voir raconter une histoire à nos enfants, me voir les regarder et jouer avec eux ça me faisait chaud au coeur et tellement de bien et de plaisirs quand elle me disait ça . Je lui caressai la joue en la contemplant encore plus que tout à l'heure en laissant un petit sourire s'installer sur mes lèvres . « Je te jure qu'un jour tu me verras faire ça ... Un jour tu me verras jouer avec nos enfants, leur raconter des histoires, les embrasser et les prendre contre moi et à ce moment là je te regarderais sourire et rire avec eux , prendre soin d'eux et leurs racontés toi aussi des histoires en les embrassant et en t'endormant auprès d'eux ... S'il le faut je sacrifierais tout pour nous moi aussi, je donnerais ma vie pour toi . Je ferais le nécessaire pour que tu sois heureuse ... je veux te voir heureuse, car quand tu l'es je le suis d'avantage ! » Je lui caresse la joue et rapproche son visage à l'aide de ma main du mien pour déposer doucement mes lèvres contre les siennes avant de prolonger un peu plus langoureusement notre baiser . Je sentais sa langue se caresser autour de la mienne ce qui me fit sourire et me donna envie de la soulever en la laissant enrouler ses jambes autour de mes hanches et la plaquer doucement contre l'arbre en laissant mes mains caresser ses cuisses . Si j'aurais pu j'en aurais eu bien envie moi aussi, mais on aura tout le temps de le faire dans un endroit plus romantique que le fleuve . Je plaçai ensuite mes mains sur ses fesses en arquant un sourcil pour rigoler . Alors que je lui proposai une petite soirée romantique entre elle et moi, elle était bien évidemment d'accord ...Je repensais encore à ce qu'elle avait dit à propos du fleuve et évidemment j'étais complètement d'accord avec elle, à partir d'aujourd'hui le pleuve c'était notre lieu à nous et rien qu'à nous et si un jour on se marierait je voudrais que ça se passe sur ce fleuve, ça serait une bonne idée non ? Mais bon ... on en est pas encore là . Je la reposai à terre en prenant sa main pour me diriger vers ma moto,avec moi elle avait l'habitude maintenant toutes les fois où on en avait fait tous les deux . Je lui tendis un deuxième casque en lui disant : « Je te laisse le mettre tu devrais avoir l'habitude maintenant ... ! » Je lui souris en passant une jambe de l'autre côté pour pouvoir m'installer sur ma moto, elle s'installa quelques secondes après et je lui dis : « Tu préfères te remettre dans le bain doucement et que je conduise pas trop vite ? ou tu préfères que je roule vite comme avant ? » Je ne voulais pas partir vite comme on faisait avant pour s'amuser si la jeune femme n'était plus habitué et qu'elle voulait commencer doucement ... Je me tournai légèrement pour pouvoir la regarder en sentant ses mains douces se positionner au niveau de mon ventre pour me tenir..
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Sujet: Re: I had to find You, tell You I need You. Tell You I set You apart. | Gabriel. ♥ Sam 29 Oct - 20:10
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